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MANUSCRITS & PUBLICATIONS

Les ROMANS :

À ce jour, six romans en Français sont disponibles. Certains sont en vente, d'autres, sont prêts à passer sous presse:

TAHAR - Le Médaillon du Désespoir

SAFYA - Les Souffrances de la Fille de l'Ogre

JIBRIL - Un Voyageur à la Recherche de DIEU

YAHIA - Souvenirs Outre Tombe d'un MZABITE

Les MENDIANTS - Un Métier sans Diplôme (3 petits romans)

ABDENNOUR - Le Harrag et le Chèque Égaré 

Pour la traduction de ces romans en langue ARABE, voir la section suivante :  

 

Sur accord avec l'Auteur, tous ces ouvrages, ainsi que leurs traductions en Arabe, ont été confiés à l'Organisation ''Ammi Saïd'' (Ghardaïa) pour leur édition

SAFYA (ROMAN)

"Les Souffrances de la fille de l'Ogre" = 241p

L’histoire de cette malheureuse gamine, élevée entre un père cruel et irresponsable, et une marâtre méchante et jalouse, semble couler de l’imaginaire. En regardant autour de soi, dans ce pays négligé et abandonné par son propre citoyen, on peut rencontrer des dizaines de filles semblables à Safya. Chacune d’entre elles, subit ses propres tourments ; mais leurs souffrances se ressemblent toutes. À la lecture de ce roman vous découvrirez que notre vie est un champ de points d’interrogations…

Safya, dans ce récit, n’est ni quelqu’un que je connais, ni le personnage d’une narration ancienne ou récente. C’est une simple citoyenne algérienne qui habite dans chaque parcelle qui compose le territoire national. Elle pourrait être votre voisine, une proche parente à vous, ou vous-même…

les corrélations de décence entre les personnages féminins et masculins évoqués dans ce roman, en regard de notre culture purement algérienne sont prises en considération. C’est-à-dire que ce roman pourrait être lu simultanément par la mère, le père, et l’enfant, sans aucune gêne attribuable à la pudeur

Ce qui veut dire en clair que ce récit est destiné à tous les âges…

Maison d’Édition BENMERABET En vente à la librairie Nuzhat Al Albab Ghardaïa - ou Contacter l’Auteur

TAHAR (ROMAN)

"Le Médaillon du Désespoir"

Manuscrit          = 244p

Édition Generis = 167p

À travers ce roman, et derrière son héros, auquel j’attribue le pseudonyme de TAHAR, je voudrais m’efforcer de donner une image aussi proche que possible du statu quo de la masse populaire en Algérie.

L’Auteur a fait passer son héros Tahar, par maintes péripéties et souffrances, en le soumettant aux méchancetés humaines de son époque, et un peu au destin qu’il aurait pu mettre à son service. Ces deux ennemis n’ont pas réussi à lui soustraire sa loyauté et son intégrité...

Le héros de cette histoire, n’est ni moi-même, ni quelqu’un que je connais, ni même le personnage d’une narration ancienne ou récente. C’est un simple citoyen qui occupe chaque parcelle du territoire national, depuis notre indépendance jusqu’à ce jour. C’est quelqu’un qui pourrait être votre voisin ou le mien, ou un proche parent… Son histoire est celle de tous ceux qui souffrent la pauvreté, la misère et l’ignorance en Algérie…

Les corrélations de décence entre les personnages féminins et masculins évoqués dans ce roman, en regard de notre culture purement algérienne sont prises en considération. C’est-à-dire que ce roman pourrait être lu simultanément par la mère, le père, et l’enfant, sans aucune gêne attribuable à la pudeur

Ce qui veut dire en clair que ce récit est destiné à tous les âges…

Ce Roman est publié par  “Generis Publishing” Il est mis en vente publique: https://www.generis-publishing.com/product/tahar-le-medaillon-du-desespoir/ 

JIBRIL (ROMAN)

"Un voyageur à la recherche de Dieu" = 237p

Jibril est un simple citoyen nigérien qui a quitté son pays d’origine à l’âge de trois ans ; dans des circonstances affligeantes, en compagnie de son frère ainé ; pour une longue randonnée vers des destinations inconnues… Son histoire, est établie sur des faits tout-à-fait imaginaires, associés à des réalités, que chacun rencontre au quotidien, à partir du moment où il est en mesure de se poser la question : « Qui suis-je ? » et «  Pourquoi j’existe ?... ».

Je voudrais présenter ici, à mon lecteur, le modèle de quelqu’un qui est sorti fortuitement d’un cadre social, dans lequel il aurait pu acquérir sa foi et une certaine croyance ; puis il a atterri dans un milieu tout autre que le sien ; pour embrasser une autre croyance différente que celle de ses parents ; puis enfin, découvrir par lui-même, qu’il n’est pas sur la bonne voie… Le récit de son voyage, et des péripéties vécues durant son enfance et son adolescence, vous diront long, sur les révélations et les lumières qui l’ont remis sur le droit chemin…

les corrélations de décence entre les personnages féminins et masculins évoqués dans ce roman, en regard de notre culture purement algérienne sont prises en considération. C’est-à-dire que ce roman pourrait être lu simultanément par la mère, le père, et l’enfant, sans aucune gêne attribuable à la pudeur

Ce qui veut dire en clair que ce récit est destiné à tous les âges…

Maison d’Édition BENMERABET En vente à la librairie Nuzhat Al Albab Ghardaïa - ou Contacter l’Auteur

YAHIA (ROMAN)

"Les Souvenirs Outr-tombe d'un MZABITE" = 234p

J’ai souvent été confronté dans des discussions entre amis ou avec d’autres personnes, à une question qui revient toujours. Ce serait celle-ci : « Pourquoi les Mzabites sont riches ? » - Pour répondre à ceux-là, je reprends la question et la présenterais plutôt sous cette forme : « Pourquoi chez les Mzabites il n’y a pas beaucoup de pauvres et peu de chômeurs ? » …

Pour répondre à cette évidence, j’ai imaginé cette histoire qui parle d’un Mzabite modèle, qui a vécu au début du siècle dernier, et qui a roulé sa bosse, subi et enduré souffrance après souffrance, pour constituer un patrimoine inestimable ; sur lequel ses enfants se disputent encore de nos jours.

J’établis l’histoire de Yahia, sur des faits historiques réels relatés par des vieillards que j’ai côtoyés, ou qui m’ont été racontés ; avec parfois des omissions et souvent des exagérations, dues à leur mémoire frileuse, usée par l’âge. Ce récit est purement imaginaire. Cependant, il faudrait lui attribuer un caractère de réalité ; par le fait que des milliers de Mzabites semblables à notre héros, sont passés par là. Ils ont suivi le même chemin que Yahia ; ils ont subi les mêmes aléas que lui, pour atteindre la prospérité et la richesse, ou vivre inconnus. La plupart ne sont plus de ce monde

les corrélations de décence entre les personnages féminins et masculins évoqués dans ce roman, en regard de notre culture purement algérienne sont prises en considération. C’est-à-dire que ce roman pourrait être lu simultanément par la mère, le père, et l’enfant, sans aucune gêne attribuable à la pudeur

Ce qui veut dire en clair que ce récit est destiné à tous les âges…

Ouvrage sous format manuscrit révisé, en attente d'une offre d'édition

LES MENDIANTS (3 ROMANS)

"Un métier sans Diplôme" = 173p

Madidou, Houari et Rabah avec ses sept amis, dans ces trois récits, sont de simples citoyens algériens qui ont cru pouvoir fuir la pauvreté en tendant la main aux passants. Mais la misère les a poursuivis durant toute leur carrière de mendiants. Ce métier qu’ils ont choisi de leur propre gré, les a encore plus profondément plongés dans la mal-vie et le malheur ; alors qu’ils auraient pu faire autrement pour vivre. L’ironie du sort, leur a montré que « l’on rencontre sa destinée, souvent par les chemins qu’on prend pour l’éviter ». 

Tous les métiers rémunérés sont sanctionnés par un diplôme. Sauf la mendicité. En effet, le quémandage permet l’enrichissement sans se fatiguer et sans suer. Le professionnel dans cette besogne a son horaire quotidien, son lieu de travail, et très souvent, comme tout employé, il a sa tenue vestimentaire. Il a en plus ses habitudes, ses astuces, et ses achalandages, qui lui permettent de gagner plus d’argent dans l’exercice de cette profession. Il peut travailler à son propre compte, ou être employé chez quelqu’un ou chez un groupe de personnes.

Le recours à ce métier ne nécessite aucun diplôme ni apprentissage. Cependant cette ‘‘profession’’, si c’en est une, constitue une tare, et une funeste gangrène pour le développement économique de l’Algérie.

Les corrélations de décence entre les personnages féminins et masculins évoqués dans ce roman, en regard de notre culture purement algérienne sont prises en considération. C’est-à-dire que ce roman pourrait être lu simultanément par la mère, le père, et l’enfant, sans aucune gêne attribuable à la pudeur

Ce qui veut dire en clair que ce récit est destiné à tous les âges…

Ouvrage sous format manuscrit révisé, en attente d'une offre d'édition

Abdennour (ROMAN)
Le Harrag et le chèque égaré (90p)

Après avoir décroché son Bac, et après maintes tentatives, Abdennour n’a pas réussi à quitter légalement Oran, pour rejoindre ses parents en France et continuer ses études. Il décida de quitter le pays avec une équipe de Harraga.

Pour des raisons précises, en cas de naufrage, il jettera en mer un flacon, dans lequel il aurait glissé deux chèques à payer au ‘’porteur’’, avec une note qui instruit clairement la personne qui percevra l’argent, d’en investir le montant, sur le projet de construction d’une mosquée.

Durant l’odyssée en direction de la France, vers deux heures du matin, un tohu-bohu infernal envahit la barque, tourne le petit bateau dessus dessous, et l’enfonce fans les profondeurs de la mer…

Deux ans plus tard, à quelques miles du port de Beni Saf, de retour de sa randonnée quotidienne, Hassan le pêcheur, a vu pas loin de lui un petit flacon flotter sur la surface de l’eau. Il redirigea sa barquette vers l’objet, le récupéra… Il brisa le flacon, pour en sortir une enveloppe roulée contenant deux chèques libellés ‘’Au Porteur’’, et un mot écrit à la main… Suivons Hassan et les chèques, et voyons ce que le destin réserve à cette généreuse fortune…

Romans: Work
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